Résumé
« Nous n’avons pas visé, dans cet ouvrage, à donner des définitions constructives, comme celles d’un système hypothético-déductif, mais des définitions sémantiques, propres à éclairer le sens ou les différents sens d’un terme et à écarter autant que possible les erreurs, confusions ou sophismes… La fin, ici, n’est en aucune manière de constituer une axiomatique mais de faire connaître des réalités linguistiques et de prévenir des malentendus. » (André Lalande)
Ce vocabulaire est un succès inégalé depuis sa première édition en fascicules dans le Bulletin de la Société française de philosophie, de 1902 à 1923, puis en volume (18 éditions reliées, 2 éditions en poche), à tel point que chaque génération de jeunes philosophes travaille avec « Le Lalande ». Le but originel de l’auteur était de contribuer à l’unité de la philosophie à travers la définition d’un langage philosophique commun. Par la suite, quelques ajouts ont été faits, des corrections apportées et ce vocabulaire est devenu un manuel du « bon usage du langage philosophique permettant l’accord des esprits ».
Caractéristiques
Sommaire
Avant-propos de René Poirier
Préface d'André Lalande
Avertissement de la deuxième édition – cinquième édition – huitième édition
Corpus
Suppléments
Articles nouveaux
Compléments d'articles
Traduction de tous les textes grecs et latins cités dans ce vocabulaire
Autour de l'auteur
André Lalande (1867-1963) était agrégé de philosophie, professeur à la Sorbonne et membre de l’Institut. Durant plus de trente ans, il fut secrétaire général de la Société française de philosophie et son œuvre majeure reste ce vocabulaire qualifié par tous les philosophes d’instrument exceptionnel.