Dans la presse
Rachida Dati, droite dans ses baskets, l'ouvrage est cité dans cet article publié dans Libération le 28 avril 2022
Rachida Dati et les sneakers. Voilà deux galaxies qui n’étaient pas encore entrées en collision, du moins à heure de grande écoute. C’est désormais chose faite depuis la soirée post-présidentielle diffusée sur TF1 dimanche. Ce soir-là, invitée à venir commenter le résultat, l’ancienne garde des Sceaux, fameuse pour son style glamour, a fait sobre, tendance streetwear – un blazer en denim sur top bleu ciel. Mais un détail n’a pas échappé aux internautes : la maire du VIIe arrondissement parisien était chaussée de baskets Nike. Il n’en fallait pas plus pour affoler Twitter.
Macron, sa gueule, ses rides : un outil de marketing politique, Pouvoir et beauté est cité dans cet article publié dans Le Point le 11 mars 2022
LA LETTRE DU PALAIS. Les photos du président prématurément vieilli inondent réseaux sociaux et chaînes info, faisant oublier le Macron impétueux des débuts.
La beauté comme arme politique, article consacré à Pouvoir et beauté, publié dans le VIF, le 10 mars 2022
"La question de la beauté en politique reste un objet refoulé politiquement et marginalisé scientifiquement", avance François Hourmant, professeur des universités en science politique, à propos d'un thème qui pourrait paraître futile, surtout en ces temps troublés, mais qui ne l'est pas.
"Le visage botoxé de Poutine le rend encore plus indéchiffrable et énigmatique", entretien avec François Hourmant publié dans L'Express le 6 mars 2022
Virilité surjouée, chirurgie esthétique, isolement... Auteur de "Pouvoir et beauté", l'universitaire François Hourmant décrypte l'apparence physique du président russe.
Présidentielle : sommes-nous tombés dans la tyrannie de l’apparence ?, François Hourmant était invité de l'émission En quête de sens diffusée sur Radio Notre-Dame le 3 mars 2022
« Les électeurs votent aussi pour le physique d’un candidat » François Hourmant a donné un entretien le 28 février 2022 diffusé dans plusieurs journaux du Groupe Est
Look des politiques: «Aujourd’hui, le corps présidentiel doit être un corps neutre», entretien avec François Hourmant, publié dans le Figaro le 4 février 2022
«On ne peut pas réduire une élection à un concours de look», affirmait Laurent Fabius lors des primaires de 2006, pour tenter de disqualifier sa rivale, Ségolène Royal. Aujourd’hui, tout semble nuancer cette affirmation, tant les compétiteurs à la présidentielle, entourés d’un pool de conseillers en image, travaillent leur apparence, corrigent leur embonpoint, redressent leur silhouette, gomment leurs imperfections, unifient leur teint… Selon François Hourmant, professeur de science politique à l’université d’Angers, «l’“homo politicus” est aussi devenu un “homo aestheticus”, un entrepreneur esthétique désireux de plaire et de séduire».
Beauté physique et pouvoir politique, François Hourmant était l'invité de l'emission Tribu sur RTS le 12 janvier 2022
La politique est un concours dʹidées, pas de beauté, entend-on souvent. Pourtant, le physique des politiques nʹest pas anodin. Il est jaugé et jugé lors dʹélection. Dans une société où les images sont de plus en plus importantes, quel est le poids de lʹesthétique dans la compétition politique? A-t-on un rapport différent à la beauté si on est de gauche ou de droite? Tribu en parle en compagnie de François Hourmant, professeur des universités en science politique, spécialiste dʹhistoire contemporaine. Il publie "Pouvoir et beauté. Le tabou du physique en politique" aux éditions puf.
François Hourmant : «En politique, la beauté exerce une discrimination invisible», article autour de Pouvoir et beauté, publié dans libération le 6 janvier 2022
Posture, gestuelle, modulation de la voix, mais aussi vêtements, coiffure, maquillage : comme leurs prédécesseurs, les candidats à la présidentielle ne laissent certainement rien au hasard. Il peut même y avoir transformation – on se souvient de la silhouette incroyablement amincie de François Hollande, des dents réalignées de Ségolène Royal ou des canines limées de François Mitterrand. La preuve la plus récente, versant accessoires, est fournie par Eric Zemmour et les lunettes qu’il arbore depuis décembre : ovales, fines, elles visent à adoucir son visage, à donner au polémiste un air plus docte que dogue. «Faire bonne impression» auprès des lecteurs, via l’apparence : l’enjeu est désormais acquis comme primordial. C’est ce que pointe François Hourmant dans l’essai Pouvoir et Beauté, dans lequel le professeur en science politique à l’université d’Angers décrypte «le tabou du physique en politique» et comment «la tyrannie de la beauté qui sévit dans les sociétés occidentales depuis des décennies n’épargne plus aujourd’hui le champ politique».
La beauté, un atout de pouvoir ? François Hourmant était invité dans l'émission Un jour dans l'Histoire, diffusée sur la RTBF le 8 décembre 2021
Dans l’Antiquité déjà, l’apparence est une donnée essentielle dans l’exercice du pouvoir. Le physique des gouvernants sert à incarner une forme de légitimité. En cas de compétition politique, la victoire peut reposer sur un capital esthétique. Des statues des empereurs romains aux photographies des magazines, en passant par les portraits des grands maîtres, le corps des puissants est magnifié, idéalisé. Que nous dit la beauté des régimes politiques et des fondements du pouvoir ? Comment favorise-t-elle l’adhésion des populations gouvernées ? Quel lien entretient-elle avec la notion de charisme ?
« Pouvoir et beauté », de François Hourmant : l’esthétique au cœur de la politique, l'ouvrage de François Hourmant à fait l'objet d'un article paru dans le Monde, le 8 décembre 2021
« On ne peut pas réduire une élection à un concours de look », ironisait amèrement Laurent Fabius lors des primaires de 2006 pour discréditer sa rivale d’alors, Ségolène Royal. Pourtant, à maints égards, l’homo politicus est bien devenu un homo aestheticus. C’est à ce thème épineux et peu abordé que s’attaque François Hourmant, professeur des universités en science politique et spécialiste d’histoire contemporaine, dans son nouvel essai. Il y décortique la « tyrannie de la beauté », qui gangrène non seulement nos sociétés occidentales mais aussi le champ politique. Elle y fait des ravages à l’heure de l’« ego-politique », caractérisée par une individualisation et une personnalisation croissantes au point d’éclipser les critères traditionnels d’appartenance partisane.
Pour gagner une élection, mieux vaut être beau... Chronique d'Alix Van Pée sur Pouvoir et beauté, dans le 28 Mintues diffusée sur Arte, le 1er décembre 2021
Pour gagner une élection, mieux vaut être beau... surtout depuis le début des années 2000 ! Dans son essai "Pouvoir et beauté", François Hourmant explore l'origine de ce phénomène .
«Pouvoir et beauté : le tabou du physique en politique» : le livre de François Hourmant,
Du lundi au vendredi, Philippe Vandel fait le point sur un sujet de l'actualité média avec un invité. Aujourd'hui, François Hourmant, professeur des universités en sciences politique, pour son livre "Pouvoir et beauté : le tabou du physique en politique".
Gloire et beauté : l'importance du physique en politique, article sur Pouvoir et beauté, publié dans l'Express, le 21 novembre 2021
Le pouvoir rend beau, dit la sagesse populaire. Reste que, pour le conquérir, mieux vaut se prévaloir sinon d'un physique avantageux, du moins d'un zeste de magnétisme . Une évidence qui tient de la vérité honteuse dans le monde politique, où les protagonistes - pas toujours bien servis de ce côté-là - n'ont pas envie d'ajouter à la longue liste des griefs dont on les accable celui de la superficialité et du narcissisme. Pendant des siècles, pourtant, gloire et image flatteuse de soi ont été étroitement associées, le pouvoir politique opérant par nature dans la sphère de la représentation.
L’apparence des candidats influence-t-elle vraiment notre vote ? entretien pour Ouest France, publié le 17 novembre 2021
En juin 2017, alors qu’Emmanuel Macron se baignait dans la foule, à Paris, deux femmes s’accordaient dans le métro pour dire qu’il était difficile « de ne pas voter pour ce beau gosse ». Presque cinq ans plus tard, François Hourmant, maître de conférences en sciences politiques à l’Université d’Angers, dresse le même constat dans son livre intitulé Pouvoir et beauté : le tabou du physique en politique (PUF, 2021) : l’esthétique structure désormais, de façon inavouée, le champ politique.
Le physique des candidats a une influence majeure sur notre vote, article autour de Pouvoir et beauté, publié sur Slate, le 16 novembre 2021
Être beau constitue un atout pour être élu: c'est la thèse défendue dans son livre par François Hourmant, professeur en sciences politiques.
À l'approche de l'élection présidentielle, bon nombre d'électeurs se questionnent: pour qui voter? Sur quels critères baser son devoir civique? Certains épluchent les sites des candidats à la recherche des propositions qui les séduisent. D'autres préfèrent suivre les débats à la télévision pour confronter leurs idées à la contradiction démocratique. Pourtant, il se pourrait que la beauté, critère loin de répondre à l'épreuve de l'objectivité, intervienne bien plus qu'on ne le croit dans le choix de notre bulletin de vote.
Beauté et séduction : en politique aussi ! François Hourmant était invité dans l’émission « Livres & vous » sur Public Sénat le 5 novembre
Dans « Pouvoir et beauté, le tabou du physique en politique » paru au PUF, François Hourmant l'admet sans détour : « La question de la séduction est au coeur de la vie politique démocratique ». Une séduction parfois institutionalisée. Il en va ainsi de Charles de Gaulle ou encore de François Mitterrand adeptes, selon François Hourmant d'une « posture présidentielle », comme Louis XIV cultivait sa posture royale. Mais la séduction politique ne se réduit pas à cela. « Même si Mitterrand ne correspond pas forcément aux critères (de beauté), poursuit l'auteur, il incarne aussi une figure de séducteur ».
Faut-il être beau en politique ?, vidéo consacrée au livre « Pouvoir et beauté », paru sur Lepoint.fr, le 7 novembre 2021
Pour être élu président de la République, faut-il avoir la gueule de l'emploi ? François Hourmant, enseignant chercheur en sciences politiues à l'université d'Angers, a publié « Pouvoir et Beauté », un livre consacré à la question. Michel Barnier fait une force de sa stature de président, tandis que Xavier Bertrand, qui a du faire face aux railleries, joue davantage de son côté populo... le tout étant de trouver le juste équilibre.
Faut-il être beau pour faire de la politique ? chronique Ce monde me rend fou de Christophe Bourseiller sur Pouvoir et beauté, diffusée le 24 octobre 2021
"Face à la profusion des promesses politiques, la lecture des corps facilite les choix" Entretien mené par Édouard Laugier, pour Le Nouvel Économiste, le 29 octobre 2021
“Une élection n’est pas un concours de beauté !” ne manquent pas de régulièrement rappeler certains candidats. Et pourtant. La beauté, qui ne se réduit pas aux apparences car elle est aussi sociale, joue un rôle essentiel en politique. L’esthétique structure le champ politique à travers l’histoire. C’est sur sa place, souvent refoulée et impensée, que François Hourmant, professeur en sciences politiques à l’université d’Angers, mène une réflexion dans son dernier ouvrage. Noblesse, virilité, charisme, sportivité ou “peopolisation”, à chaque époque ses exercices esthétiques. Même si une carrière politique ne peut s’expliquer uniquement par la séduction et l’attractivité d’une plastique avantageuse, l’élection se joue plus qu’on ne le croit sur des stratégies d’embellissement et de présentation de soi. Depuis des décennies, le rôle des médias dans le cadrage esthétique de la politique n’est plus à démontrer. Les compétiteurs en ont bien profité. Mais les règles changent, notamment sous l’effet de la puissance des réseaux sociaux, sur lesquels les candidats sont de moins en moins maîtres de leur esthétisation.
Populisme : Zemmour est-il le nouveau Trump ? François Hourmant était l'invité de l'émission Décryptage le 27 octobre 2021 sur Radio Notre Dame
La Zone Mazaurette : faut-il être beau pour être élu ?, Pouvoir et beauté chroniqué par Maïa Mazaurette dans l'émission Quotidien sur TMC, le 21 octobre 2021
Toute l’année, Maïa Mazaurette nous fait suivre la campagne électorale. Ce jeudi, elle répond à une question très politique : faut-il forcément être beau pour être élu ? Forcément, peut-être pas, mais il est dit dans « Pouvoir et beauté » de François Hourmant qu’on a 20% de votes en plus aux élections parlementaires lorsqu’on est beau, ou belle...
Le capital esthétique est-il sous-estimé en politique?, François Hourmant invité par Olivia Gesbert pour La grande table des idées, sur France Culture, le 19 octobre 2021
Pour le professeur de science politique François Hourmant, spécialiste d'histoire contemporaine et auteur de François Mitterrand, le pouvoir et la plume (2010), la beauté est un capital esthétique qui exige une mise en scène de soi dans l'espace public. Il explore ce sujet dans son livre Pouvoir et beauté : le tabou du physique en politique (Puf, 2021).