Jean-Hugues Barthélémy
Né le 31 mars 1967 à Casablanca. Études secondaires au lycée Brizeux de Quimper, puis études de philosophie à l’Université de Rennes 1 et découverte de la phénoménologie husserlienne notamment, grâce à l’enseignement de Jacques English. Maîtrise sous la direction de Frédéric Nef : "Fondationnalisme égologique et individuation", et première spécialisation sur la philosophie de l’individuation de Simondon comme pensée potentiellement post-phénoménologique. Découverte, dans le même temps, de l’oeuvre de Wittgenstein et de son évolution jusqu’à etlt;ietgt;De la certitudeetlt;/ietgt; (etlt;ietgt;Ueber Gewissheitetlt;/ietgt;), texte appelant pour la philosophie à "un pas, pareil à celui que fait la théorie de la relativité". Professeur titulaire de philosophie en lycée en 1995. Thèse de doctorat d’épistémologie et histoire des sciences et techniques à l’Université de Paris 7 - Denis Diderot, soutenue en 2003 sous la direction de Dominique Lecourt : "Sens et connaissance. A partir et en deça de Simondon", qui procédait à une "exégèse polémique" de l’oeuvre de Simondon et posait les bases du projet auquel Jean-Hugues Barthélémy, après avoir publié trois ouvrages sur Simondon, revient aujourd’hui à travers sa etlt;ietgt;Philosophie du paradoxeetlt;/ietgt; : le projet d’une "Relativité philosophique" post-wittgensteinienne en tant que système ouvert reposant sur la problématique nouvelle de la "sémantique philosophique", dont l’ontologie génétique de Simondon sera une "traduction uni-dimensionnelle ontologique seconde" parmi d’autres traductions "économique" et "axiologique".
